La communication évolue dans un contexte d’instantanéité et d’événementialité de l’information, où tout le monde est en capacité d’alerter, d’informer, d’influer sur l’opinion.

Dans pareil contexte, il semble que la communication des diverses organisations soit devenue une communication sensible de plus en plus soumise à critiques, polémiques, oppositions.

En communication institutionnelle, la pluralité des enjeux et des parties prenantes suscite des positions et stratégies souvent difficiles à conjuguer, sur des échelles de temps décalées, entre considérations politiques, économiques et citoyennes.

En communication financière, le profil de l’entreprise, son appartenance à un groupe de renom, l’exacerbation du contexte concurrentiel, … sont autant d’éléments générateurs d’effets secondaires sur le marché financier, sur l’image, la réputation de l’entité, sur la confiance qui lui est accordée.

En politique comme dans la vie civile, certaines habitudes évoluent peu contrairement à l’appréciation du public, le tout amplifié par un traitement quasi instantané et continu de l’information.

Si 80% des entreprises ont mis en place un système de veille digitale, ce dernier ne détecte qu’1 crise sur 3.

En pareille situation, le déni ou la politique de l’autruche ont peu de place.

La réaction s’impose, le mea culpa devient courant, il est même essentiel dans la plupart des cas, sous réserve de respecter certains critères pour être convaincant.

Des circonstances qui en tout état de cause ne laissent aucune place à l’improvisation et suscitent formation et accompagnement spécifiques !

L’anticipation, par la formation notamment en média training, est essentielle pour permettre aux dirigeants et principaux porte-paroles de l’entreprise, profession libérale ou collectivité, de mieux appréhender les risques et enjeux face à une situation critique, d’être mieux armé pour savoir comment agir voire réagir.

La formation proposée en binôme communicant / journaliste apporte une expertise complète en matière d’attente et d’enjeux de l’entité aidée ainsi que de ses principales parties prenantes, afin de transmettre à cette première les clefs lui permettant de définir la meilleure démarche à adopter face à une situation sensible, d’identifier son/ses porte-paroles les plus pertinents ainsi que ses relais utiles, de construire ses messages, d’analyser ses retombées et d’appréhender les leviers d’amélioration à apporter à sa stratégie ou à son organisation.

J’aurai l’occasion de revenir sur ces points spécifiques par des posts focus à venir.

Gardez la maitrise de vos activités en toutes circonstances en mettant à l’épreuve votre dispositif de communication !